Alexia D. Kennedy || 100%

▌▌ The First Part

▌▌ The Second Part

Physique : Que dire sur le physique de Alexia? Comme toutes les humaines, elle est d'une banalité mortelle, pas de beauté subjugante, pas de grâce hors du commun, son sourire n'est pas epoustouflant, ses yeux n'ont rien de particulier non elle est loin, très loin de ça, à des années lumières sans doute, Alexia est humaine ou presque, souvent elle passe pour une martienne, mais puisqu'il faut la décrire, allons y !

Commençons par les cheveux, c'est plus logique vu que c'est ce qui est au sommet du crâne, c'est comme quand on prend une douche, on commence par les cheveux, on finit par les pieds, et ben se sera pareil pour cette description, comme une douche! Donc ses cheveux, noirs corbeau, elle rêvait d'être blonde, ils sont indisiplinés, et ondulés, elle les voudrait lisses. La seule chose qu'elle à choisit c'est la longueur, ils lui arrivent en haut de la poitrine au naturel, mais les fois où elle a le courage de les lisser, ils sont bien plus long ! Elle en prend soin, elle deteste les cheveux fourchus, alors elle fait reguliérement des soins afins qu'ils soient beau élègant, parce qu'avec l'oréal nous le valons bien ! Ils sont fins, agréables à coiffer, la jeune fille adore d'ailleurs faire toute sorte de coiffure !

Voilà ses yeux maintenant, oui je sais, à la douche il est déconseillé de se laver les yeux, sa pique et c'est horrible ! Bref il faut les décrire, même si on ne les lave pas ! Ils sont grands, en amandes, ils sont bleu et bien sûr elle les voudrait vert ou même marron, bleu c'est pas beau selon elle ! Bref, elle porte des lentilles mais transparante! Raté ma belle ! Elle a des problémes aux yeux, il parait que c'est parce qu'elle passe trop de temps devant son ordinateur ou sa télé ... Il parait, elle le dement ! Elle porte des lunettes aussi, quelques fois, mais vous savez les lunettes c'est pas très beau ! Alors non merci ! L'ésthétisme avant tous, elle préfére les lentilles !

Now, the face ! Son petit minoi et fin, allongé, élégant, rien de magnifique cependant, juste banal. Sa peau est clair pas autant que celle des magnifiques vampires, mais elle reste blanche, et oui l'écran d'ordinateur n'envoi pas des U.V ! Sa peau et belle est douce, elle en prend soin, crémes, masques, maquillage, rien n'est jamais trop quand on veut être belle ! Ses lévres sont fines et d'un rose clair attendrissant.

Descendons encore un peu, son corps et fin, elle fait tout pour garder la ligne, du sport, un régime alimentaire équilibré, de la nouriture saine pour un corps sain ! La pauvre Alexia n'a pas les formes très généreuse, juste ce qu'il faut, mais de nos jours ça ne suffit pas pour plaire au garçon ! Pourquoi ne s'interessent-ils qu'aux décoltés des demoiselles ceux là aussi ?

Fiou, disons que la douche est finie, il est temps de s'habiller ! Mais comment ? Je suis là pour vous répondre. A un corps banal, des fringues banales. Jeans, pull over, quelques fois jupe ou robes. Rien d'extravagant, le minimum suffit. Talons hauts, c'est bien les talons hauts ça grandit et ça aide parce que June n'est pas bien grande, mais par respect pour elle hors de question que je vous révéle sa taille !

Une fois habillée qu'est-ce que fait une fille ? Elle se maquille, Lexie le fait aussi, trait de crayon noir sous les yeux, fard à paupiére et mascara de la même couleur, ça va avec tout les vêtements, ça fait ressortir les yeux bleus voilà qui est parfait, quelques fois du gloss, transparant, mais c'est rare donc ce n'était pas vraiment la peine d'en parler. Pour finir un peu de vernis, je ne citerai aucune couleur car ça change tout le temps.

Voilà notre Alexia est parfaite, ou pas ! Difficile de paraitre parfaite ou même jolie quand le physiquement on est d'une banalité mortelle !

Caractère : Le caractère de la Miss Kennedy voilà quelque chose d'étrange, si le physique vous a semblait bizarre attendez vous à bien pire ! Non je rigole, le caractère m'inspire moins que le physique. Bref, encore une fois le caractère de Alexia est banal ! Euuuh, non peut être pas en fait, il faut avouer qu'elle est plutôt spéciale comme fille ! Entrons donc dans les détails.

Extravertie. C'est un mot qui la définie à merveille, elle est ouverte, sociable et encore plein d'autres synonymes si vous le desirez ! Elle aime parler aux gens, même si c'est pour raconter n'importe quoi ! Elle parle, elle parle, elle parle et elle parle, inlassable ! Elle est vraiment capable de parler pendant des heures entiére sans s'arrêter. Il lui arrive même de parler avec des inconnus, genre dans une salle d'attente. Les gens la trouve peut être lourde des fois. Mais bon c'est un atout de parler facilement, ça aide dans la vie.

Un deuxiéme adjectif : Dynamique. Vous voyez la durée de vie d'une pile élèctrique ? Et bien Alexia tient encore plus longtemps, toujours en mouvement ! Elle ne s'arrête jamais, associé à sa joie de vivre sa donne un sacré truc, et c'est là qu'on en vient à ce qui est dit plus haut "Elle 'est pas toujours bien dans sa tête", ce dynamisme légendaire lui donne un quelque chose de ... Folie. On dirait souvent qu'elle est folle ! Les gens qui ne la connaissent pas rient surement d'elle mais elle s'en fout.

Maintenant : Impulsive.Peu réfléchie dans ses actes, elle agit souvent sans se soucier des conséquence, sous l'impulsion. De plus elle est téméraire, imprudente, le mélange de tout ça créé souvent de gros soucis. Mais bon elle assume !

Pour finir : Râleuse. Alexia à un TOC ou un TIC je sais jamais lequel est le bon, bref, la jeune fille se plaind, elle râle constament, et souvent pour rien c'est devenue plus qu'une habitude, c'est une obssession, il faut qu'elle se plaigne de quelque chose constament. " Hô, il fait trop chaud", "aujourd'hui il fait trop froid", "Ca me soul, j'aime pas les maths", "Abusé, mes cheveux sont moches aujourd'hui". "Beurk, j'aime pas ce qu'on mange". Voilà vous avez compris, pas la peine de multiplier les exemples.

Le mot, le seul l'unique, celui contre lequel elle ne peut pas lutter, Maladresse, associé à Malchance extréme. Elle est d'une maladresse à coupé le souffle ! Dans le genre pas douée Alexia bat des record ! Elle fait systématiquement tout, absolument tout, de travers, elle enchaine chute & gaffe en tout genre ! Elle s'en plaind et se considére comme un danger publique. Malgrés sa grande joie de vivre elle pense que sa mort serait un soulagement pour la nation !


Insupportable ? Est-ce que le mot résume bien son caractère ? Non je pense qu'il y'a pire, elle est juste un peu chiante, mais il faut accépté les gens avec leurs défauts et leurs qualités, notamment les handicapé du cearveau comme la pauvre Alexia ! Je rigole Alexia se souffre d'aucune maladie, c'est naturel !Quoi que ...


Histoire :

Ma vie ? A t-elle une une importance à vos yeux ? En a t-elle une aux yeux de quelqu’un en ce monde ? Je dois vous avouer que j’en doute. Le monde s’en fout, vous vous en foutez, alors à quoi bon ? De toute façon ma vie est nulle, enfin bon, puisque je n’ai pas le choix, allons y ! Mais je vous en suppli, ne vous endormez pas devant vos écrans.

Je suis née le 23 mai 1989, un jour de printemps, ma famille a souvent cité ce jour comme un jour ensoleillé, un jour magnifique, qui graca en eux, un souvenir heureux, inoubliable. Moi, evidemment, je ne m'en souviens pas, c'est normal, mais je deteste ce jour, est-ce qu'on m'a demandé à moi si je voulais venir au monde ? Si j'avais eu le choix, le 23 mai 1989 aurait été un jour comme les autres, Sophie Davaine, ma mère, et mon père John Owens n'auraient sans doutes aucun souvenir de ce jour, je pense que ça aurait été beaucoup mieux pour tout le monde.

Mais voilà, je suis née, je m'apelle Alexia, un prénom banal, et sans aucune originalité, mon deuxiéme prénom me viens de ma grand mère, elle s'appellait Deborah. Là encore, mes parents n'ont pas fait preuve d'originalité. Les trois quarts des gens portent le nom de leur grand mère comme deuxiéme prénom ! Heureusement que la mienne ne s'apelle pas Ginette ou Georgette !

Parlons un peu de mon enfance, bien qu'il n'y est rien de très interessant dedans. Une enfance banale, j'étais une petite fille somple, entourée d'amour, un peu renfermée sur elle même, j'ai grandit, comme tout le monde. A 8 ans j'ai commencé à apprendre à jouer de la guitare, ma mère m'avais enseigné le piano, et je me decouvrais une véritable passion pour la musique, aujourd'hui c'est peut être la seule véritable passion qu'il me reste.

Enfant j'étais une petite fille modèle, je m'entendais bien avec mes parents, j'avais toujours des bonnes notes, je faisais tout pour plaire aux gens qui m'étaient chers, ma famille, mes amis ...

Mais le temps à passé et voilà l'adolescence, 14 ans, toujours la même, discrette, studieuse. Les gens ne me remarquaient pas, j'avais quelques amis, mais pas des tones, j'étais loin d'être la fille la plus populaire du collége. D'ailleurs les années de collège se sont terminée, sans encombres, sans faux pas ...

Me voilà au lycée, 16 ans déjà et toujours la même pour peu de temps, une rencontre modifia ma vie, un garçon allait faire de moi ce que je suis aujourd'hui, cette névrosée, pour qui vivre ne signifie plus rien.

Ce garçon s'appellait Jason Houston, je l'ai rencontré durant ma premiére année de lycée, il était dans ma classe, j'étais seule, mes amis et moi avions été séparés, je n'avais plus personne et il est venu vers moi. Je me souviens de ce jour comme si c'était hier, premier cours de la journée, deuxiéme semaine, cours de mayh. J'étais seule au fond de la classe, je n'arrivais pas à me socialiser, j'étais trop renfermée. Lui au contraire, avait déjà pleins d'amis, c'était un garçon très populaire. Seule à ma table, les yeux rivés sur mon cahier, j'entendais tout le monde dire des phrases du genre « Hé Jason, Tu vien à côté de moi ? » et lui répondais à tous « Une autre fois peut-être », comme s'il avait été une star, je dois avouer que son comportement m'enervait, peut être par simple jalousie, car au fond de ma salle, tout le monde se foutait de moi. Les gens d'ailleus, avaient tendence à me critiquer, je le savais car le les avait déjà entendu, avaient-ils crus que j'étais sourde ? Bref, j'étais plongée dans mon cahier de maths, quand soudain la chaise à côté de moi bougea.

« Je peux m'asseoir là ? »

Je levais la tête et je le vis, le fameux Jason, il me demandait s'il pouvait s'asseoir à côté de moi. J'eu du mal à comprendre sur le coup. C'est vrai ça, pourquoi moi ? J'étais qu'une pauvre fille insignifiante, pourquoi se souciais t-il ainsi de moi ? Je n'étais pourtant rien. N'étant pas capable de faire sortir le moindre son de ma bouche, j'acquiessais et Jason s'installa sur la chaise d'à côté. Moi je n'avais qu'une hâte c'était que cette heure se termine, qu'il parte et me fiche la paix. Pour oublier cet évènement, je me plongeais intégralement dans mon cours de math. Cependant à peine quelques minutes après, une voix m'en fit sortir.

« Alors, tu t'apelle Alexia c'est ça ?
- Oui, et toi c'est Jason je présume ...
- En effet. Pourquoi tu t'isole sans arrêt ?
- Pourquoi désire tu m'en empêcher ?
- J'aime pas voir les jolie filles seule ...
- Jolie ... Pfff
- Ben quoi ?
- Rien ...
- Pourquoi tu fais la mauvaise tête tout le temps ...
- Je ne suis pas comme toi, je n'arrive pas a allez vers les autres ...
- Et tu n'arrive pas a les laisser venir vers toi non plus apparament.
- Certes ...
- Faut pas réagir comme ça, sinon tu va rester seule longtemps ...
- Il parait qu'il vaut mieux être seul que mal accompagné ...
- Comment sais tu si les gens sont de mauvaise compagnie ? Tu ne les connais pas ...
- Ils ne m'aiment pas ...
- Qu'est-ce qui te fait dire ça ...
- Je les ai entendus parler de moi ...
- Qu'est-ec qu'ils disaient ?
- Que j'étais une folle introvertie et sociopathe ...
- C'est peut être l'image que tu donnes ...
- Tu joue aux Psy là ?
- Désolé ...
- Je suis peut être un peu bizarre, mais est-ce une raison pour me juger ? Moi je ne les juge pas ...
- Ils ne te connaissent pas, c'est pour ça ...
- Ben justement, on ne juge pas les gens sans les connaitre !
- Bienvenue dans la société moderne Alexia ! »

Je soupirais, ouais la société moderne, les évolutions permettent une meilleure vie apparament. Allez savoir si c'est vrai. Quoi qu'il en soit, je continuais de bavarder toute l'heure avec Jason, et les jours suivants, il revint à mes côtés pour discuter, au bout d'un moment j'eu hâte que l'heure de math arrive, pourtant je vais vous avouer que les maths j'ai toujours detesté, mais Jason en faisait un cours tellement passionnant que j'avais envie d'y allez, envie de le voir, envie de l'entendre. Qu'est-ce que cela signifiait ? Je n'en savais rien. C'était un sentiment nouveau qui grandissait en moi, aujourd'hui je sais, mais à l'époque ...

L'amour. Un simple mot, 5 lettres dans la version de mon pays d'origne, 5 lettres c'est peu pour un truc aussi grand, aussi devastateur, y'a t-il en ce monde pire sentiment que l'Amour ? Non. Pour moi, c'est un sentiment à double tranchant, l'un nous fait chavirer de bonheur, l'autre nous détruit. L'amour, c'est un sentiment ambigüe, imprévisible qui nous fait du bien tant qu'il est là, mais qui vous tue quand il vous quitte. L'amour ... A quoi bon ?

Les mois ont passés et me voilà en couple, la satisfaction qui arrive après la torture qui précéde et celle qui viendra quand ce sera fini. J'étais heureuse, grâce à lui j'ai appris à m'ouvrir au monde exterieur. Oui j'ai beaucoup appris grâce à lui. Je ne peux même pas vous dire ce que je serais si je ne l'avais pas connu. Pas grand chose, aurais-je aussi peu de considération pour ma propre vie s'il n'en avait jamais fait partit ? Je pense que oui. Il n'est qu'une partit de mon désespoir actuel, il n'en ai qu'à moitié la cause.

J'étais heureuse, jusqu'au jour où j'ai trouvé dans sa chambre, une dose d'héroine, un choc pour l'adolescente que j'étais, 17 ans à l'époque. Je devais l'aider, lui parler, lui dire que je l'aiderais à s'en sortir, qu'à deux on s'en sortira. J'aurais du. Mais le temps que je réflechisse, le temps que je me decide, il était trop tard. Il avait été retrouvé mort dans sa salle de bain. Overdose. Sa vie était finie. Je me sentais responsable et détruite. J'aurais pu l'aider, mais je ne l'ai pas fait, juste parce que j'avais eu besoin de réfléchir à la façon dont j'allais aborder le sujet, juste parce que j'avais peur de le vexer, peur qu'il me quitte, peur d'être à nouveau seule.

C'est exactement que qui m'arriva. J'étais seule. La solitude ne m'avais jamais bléssé avant. Jamais je n'avais eu mal parce que je n'avais personne. Seulement là, c'était différent. Je venais de perdre la seule personne au monde en qui j'avais confiance, la seule qui m'avais trahie, la seule que j'aimais d'amour. J'étais seule. Livrée à monde qui me semblais inconnu. Je ne savais plus quoi faire. Je me renfermais, tombée dans ma déprime, incapable d'en sortir, je déperissais petit à petit, j'agonisais, seulement la mort ne venait pas à moi, elle me laissait souffrir. Une seule solution vint à mon esprit fragile. Si la mort ne venait pas à moi, j'irais à la mort. J'en avais le courage. Je voulais abréger mes souffrance. M'enfermant dans ma salle de bain je pris un cutter.

J’avais peur. Je l’admet, est-ce moins dur de se donner la mort que de s’attendre à le reçevoir ? Mes doigts tremblaient quand j’avais le cutteur en main. Mon coeur battait à la chamade quand j’ai approchais le cutteur de mes veines. J’ai voulu m’accrocher à la vie quand j’ai taillé mes veines. Le sang coulant à flot de mon poignet m'a rendue nauséeuse. J'ai perdu connaissance, j'ai sombrer. Mais, mes yeux se sont réouvert, dans une chambre d'hôpital.

Pourquoi suis-je encore là ? Je devrais reposer en paix, six pieds sous terre, pourquoi m’avait t-on sauvée ? Mes parents ont appelé les urgences en voyant mon corps inanimé, le sans dégoulinant de mon poignet, s’ils étaient arrivés quelques minutes plus tard, je serais morte, debarrassée de ma vie de merde, ma vie qui ne me mênerai nul part.

Me voilà vivante dans ce monde où je n'avais pas plus d'importance qu'un autre, dans ce monde où personne ne me voyait, dans ce monde où je n'avais plus rien. Je devais pourtant continuer, je n'avais pas le choix. Et ses questions qui grandissait en moi en entrainant avec elles l'angoisse.

Pourquoi ai-je voulu fuire ? Pour eviter de souffrir sans doute, on ne cessait de me demander pourquoi j’avais tentais de mettre fin à ma vie, est-ce que j’avais pensé une seule seconde à ce que ressentirait mon entourage si je venais à mourir ? Non je n’y avais pas pensé, parce que personne n’a jamais pensé que je ne voulais pas de cette vie qu’on m’avait offerte, pourquoi attaché tant de valeur a quelque chose aussi éphémère ? Pourquoi attaché tant d’importance à gens qui nous entourent ? Pourquoi tient t-on à moi ? Qui suis-je ? Personne. Je suis aussi insignifiante que toute les autres vie que vous voyez disparaitre chaque jour, alors pourquoi tentez vous de me retenir ? N’ai-je pas le droit de vouloir que ma besogne s’arrête ?

Je n'eu pas le choix. J'acceptais tant bien que mal ma condition, vivait sans vraiment vivre, broyant du noir, detestant ma vie, vivant dans le malheure, à la limite de la depression, jusqu'au jour où j'appris que j'étais atteinte d'une maladie pulmonaire, une maladie incurable qui me durait d'ici 20 à 30 ans. J'allais mourir et pourtant j'avais peur. Non finalement je ne voulais plus quitter ce monde, pas avant d'avoir connu le bonheur, un bonheur qui durerait sur la durée. Je voulais que la fin de ma vie soit belle ! Je voulais profiter des années qui me restait.

J'entrepris de réaliser l'un de mes plus grands rêves, partir en amérique pour mes études, j'avais déjà fait une année de psychologie en france, alors j'allais continuer aux Etats Unis. Pourquoi la psycho ? Parce que personne ne mérite de souffrir en son fort interieur sans avoir quelqu'un pour l'aider. J'avais souffer, maintenant je voulais aider les autres.

Me voilà à Miami en floride, j'ai décidé d'entrer dans une grande université, j'ai été accéptée. J'ai décider de m'ouvrir, alors je ferais des efforts, j'aurais du mal je le sais, notons que mon anglais n'est pas parfait en plus ! Enfin ber, j'éspère profiter des années qu'ils me restent avant d'être enfin, en paix.

Relations :

Je viens d'arriver, je viens de decider que j'allais essayer de me faire des amis, alors laissez moi un peu le temps quand même !

▌▌ The Third Part

Musique écoutée : Rock of course <3
Plat préféré : clafoutis à la cerise *-*
Livre préféré : Roméo & Juliette de notre ami Shakespeare
Film préféré : Titanic, j'aime bien tout ce qui est dramatique
Couleur préférée :Rouge, noir, rose & blanc =)
Animal préféré : Les lapins
Quelque chose en plus ? Alexia est malade & elle sort tout juste d'un état semi dépressif, alors si vous remarqué une grosse cicatrice sur son poignet droit eviter de lui en parler, elle pourait ressombrer, il faut compatir ! La pauvre malheureuse !

▌▌ The Last Part

Comment as tu trouvé le forum ? : Top Site, oui je fais les tops sites à minuit et des patates O.O
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